Rédigé par Alain et Ludovic dans la rubrique Portrait
Jacques Henri Siviol est né à Cahors en 1925. Deux ans plus tard, la famille déménage à Le Buisson de Cadouin où son père fut mécanicien et gérant d'un garage, avenue des Sycomores.
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Jacques.H Siviol en 1944 |
Jacques a étudié à Le Buisson (école primaire), puis a poursuivi ses études à Sarlat, lui permettant par l'intermédiaire d'un stage en mécanique de travailler avec son père. En 1944, il rejoint la Résistance en intégrant le Groupe Soleil, où il fut blessé au bras droit.
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En Afrique |
Après la guerre, il épousa la fille de l'adjudant de gendarmerie de Le Buisson, dont il divorça quelques années après puis enchaîna de nombreux voyages. En Afrique, travaillant pour le gouvernement Français dans le pavage des routes, puis en Argentine, au Paraguay et enfin à Curitiba et São Paulo au Brésil où il rencontre une famille Française possédant un atelier de mécanique tenu par Jean Pierre Le Roch, qui deviendra par la suite le propriétaire de l'Intermarché Mousquetaire, France.
C'est en rentrant au pays pour solder des affaires familiales, qu'il tombe sous le charme de Salvador et décide de s'y installer. Il monte un atelier de mécanique dans l'état de Bahia, où il fait la rencontre d'un Français, Fernand Delaferté qui lui propose un contrat pour Schlumberger Groupe (services pétroliers) en Patagonie. Quand il termina son contrat il s'installa à Aracaju-Sergipe où son épouse est décédée en 1974. C'est le 1er mai 2013 que Jacques Siviol, installé chez son neveu au Brésil, nous quitta à l'âge de 88 ans.
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Port de Santos - São Paulo - avec Jean Pierre Le Roch et des employés du port | |
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Patagonie |
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Jacques Henri Siviol lors d'une commémoration à Limeuil en 1996
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Ce portait de Jacques Henri Siviol n'aurait pas pu voir le jour sans la contribution de son neveu José de Oliveira, qui a eu la gentillesse de nous fournir les documents que nous vous présentons. Nous tenons à l'en remercier.
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Le Buisson avec des amis en 1945 |
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Jacques Poirier, Charles Brouillet et Jacques Siviol
Siorac en Périgord janvier 1947 |