Rédigé par Alan dans la rubrique Portrait
A Aubeterre en Charente il y a un petit cimetière que je visite de temps en temps où reposent un jeune résistant Jacques Rouzeau et son frère Pierre Rouzeau, dont les noms sont gravés sur le monument aux morts de Gond-Pontouvre en Charente.
A Aubeterre en Charente il y a un petit cimetière que je visite de temps en temps où reposent un jeune résistant Jacques Rouzeau et son frère Pierre Rouzeau, dont les noms sont gravés sur le monument aux morts de Gond-Pontouvre en Charente.
Appelé à
l’origine « Maquis de Chabanais » en raison de son implantation
dans cette région, il est le pôle d’attraction pour les jeunes
réfractaires limousins de la Charente et de la Haute- Vienne.
Le commandement de ce maquis revient à l’origine, lors de son implantation à Pressignac fin mai 1944, au capitaine Beaulieu. Ce dernier est remplacé en juillet 1944 par Bernard Lelay ( Colonel Bernard ) sur ordre de l’ État-major de la 5ème région FTP.
Le « Maquis de Chabanais » devient alors « maquis Bernard », fort de 2500 hommes, soit 12 compagnies et 4 bataillons. Il participe aux combats de Chabanais ( 29-30 juillet et 1er août 1944 ), Exideuil, Oradour sur Vayres ( 19 juillet 1944 ), Aixe sur Vienne, à la prise de Limoges (18 au 21 août 1944 ) et à la Libération d'Angoulême ( du 27 au 31 août 1944 ).
Bernard Lelay, nommé lieutenant-colonel à la Libération, puis commandant de la subdivision militaire d’Angoulême, son régiment poursuit le combat sur le front de Royan.
Il y a un monument à Chabanais à la mémoire de sept FTP “Bernard” tués.
Le commandement de ce maquis revient à l’origine, lors de son implantation à Pressignac fin mai 1944, au capitaine Beaulieu. Ce dernier est remplacé en juillet 1944 par Bernard Lelay ( Colonel Bernard ) sur ordre de l’ État-major de la 5ème région FTP.
Le « Maquis de Chabanais » devient alors « maquis Bernard », fort de 2500 hommes, soit 12 compagnies et 4 bataillons. Il participe aux combats de Chabanais ( 29-30 juillet et 1er août 1944 ), Exideuil, Oradour sur Vayres ( 19 juillet 1944 ), Aixe sur Vienne, à la prise de Limoges (18 au 21 août 1944 ) et à la Libération d'Angoulême ( du 27 au 31 août 1944 ).
Bernard Lelay, nommé lieutenant-colonel à la Libération, puis commandant de la subdivision militaire d’Angoulême, son régiment poursuit le combat sur le front de Royan.
Il y a un monument à Chabanais à la mémoire de sept FTP “Bernard” tués.