Quatre avaiteurs américains dans le maquis Bir Hacheim en Charente

Rédigé par Alan dans la rubrique Maquis Bir Hacheim

During the course of mission 171 on the 31st December 1943, numerous bombers of the 8th U.S. Air Force were shot down by the Luftwaffe or by German anti aircraft over France. Eight of these bombers were shot down or crash landed in the Charente and the Charente Maritime, two others close to their border, one in the Gironde, the other in Deux-Sèvres. The latter was a Boeing B17 Flying Fortress under the name "Miss Lead" part of the 326th Squadron of the 92nd Bomb Group based at Poddington Field in England.

Louis Le Cam : Nontronnais de la brigade Rac nous a quitté

Rédigé par Alain dans la rubrique Brigade RacHommage et recueillement

Nous venons d'apprendre le décès de Louis Le Cam.

Réveillon de Noël 1943 : Chez Lautrette (Thiviers en Dordogne)

Rédigé par Alain dans la rubrique Brigade RacPortrait


Le seule, l'unique Georges Lautrette ! : Réveillon de Noël 1943

« Tac, tac... » ... « Tac, tac... », c’était sa façon de passer inaperçu quand il traversait Thiviers après le couvre‑feu, chaussé de ses gros sabots, sans lesquels il risquait toujours le « faux‑pas ».

1944 - Bignac : Naissance et vie d'un maquis charentais

Rédigé par Alain dans la rubrique Maquis Parachutage RéseauDocument et livre
Extrait du fasicule sur le maquis de Bignac Naissance et vie d'un maquis charentais edité par l'amicale des Anciens du maquis de Bignac au Vergeroux

Samedi 6 décembre 2014 - Thiviers : Rencontre-signature avec la fille de Philippe Papon de la brigade Rac

Rédigé par Alain dans la rubrique Document et livreBrigade RacÉvènement


Samedi 6 décembre 2014 : Thiviers

Rencontre-signature avec la fille de Philippe Papon auteur du livre Mémoires 
d'un maquisard : Le groupe Phiphi (Editions Sud Ouest) à partir de 9h30 chez Totem rue Jules Theulier à Thiviers.


Philippe Papon (1910-1993), dit Phiphi dans la Résistance, originaire de Thiviers, a vécu à Périgueux de la Libération jusqu'à sa mort. Ce manuscrit, écrit dans les années 1980, a dormi trente ans dans un tiroir. Il est rendu à la lumière par sa fille, Françoise Goulandris-Papon.