Une carte des communes où il y a eu des représailles du 27 mars 1944,
après le massacre de Brantôme le 26 mars 1944
En premier, le combat de Cantillac au hameau de Puyfauchard, se solda par 3 morts au combat coté maquisard. Ces 3 hommes étant resté pour protéger le replis des 22 autres maquis vers la commune de Cantillac, cerné de toute part, l'adjoint au Maire leur proposa de les enfermer dans l'église, et cacha la clef, les Allemands furent bientôt là. Ils ne purent enfoncer la porte, Monsieur le Maire ayant entendu des coups de feu, arriva, et se proposa comme otage à la place de son adjoint que les allemands voulaient fusillé. Cette attitude fit forte impression sur les Allemands, qui se retirèrent au bout d'une heure et partirent, les maquis furent saint et sauf. Pour cette fois.
Paul NOUHAUD et Paul ANDRIEUX, soldats FFI, sont massacres à Puyfauchard et Aubin MAUROUX au lieu-dit "Le Bouchet"
L'église de Cantillac
Stèle à la mémoire de deux combattants tombés le 27 mars 1944 à Cantillac, face aux Allemands
A St Crépin de Richemont, au lieu dit Canteix, à la ferme des époux Roby, cultivateurs, la division Brehmer mis le feu à la maison et fusillèrent Justin Roby, 51 ans, sa femme, Jouanna Belard, 46 ans, Maxime Roby, 19 ans, réfractaire au S.T.O., Camille Roby, 21 ans, Jean Belard, 75 ans, le grand-père. Leurs corps furent Jetés dans le brasier. Seul deux jeunes enfants, en classe à l'école, au moment des faits, échappèrent au massacre.
A Condat sur Trincou, les Allemands de bon matin, après s'être fait servir le café et l'eau de vie, rassemblèrent les hommes du villages et fusillèrent à trois cent mètre du Bourg au lieu dit "Le Rouchard" Monsieur Parcelier, 47 ans, pour ne pas avoir ses papiers sur lui. Un autre habitant du bourg le jeune Bonnal, fut envoyé au S.T.O., les Allemands incendièrent également la propriété du Maire Monsieur Alfred Roussarie.
C'est à St Pancrace, que les allemands de la division Brehmer, vont massacrer cinq hommes :
Marcel Belair, Edmond Nouard, Roland Calvi, René Lacoste, Eugène Muller furent massacrés en bordure de la RD 8.
Sur la commune de Brantôme, au pont des roches, prés du hameau de Puy Joubert, sur la petite route qui longe la Dronne, à coté de la fontaine d'amour, 4 juifs furent exécutés le 27 mars 1944 parce qu'ils étaient juifs.
Sur la commune de Brantôme, sur la RN numéro 675 en direction de Nontron, Henri Lapeyronnie, cultivateur de 24 ans, originaire de Quinsac fut abattu par les soldats Nazi, près de "Puy Laurent"
Rectificatif, à Villars, en mème temps que Monsieur Ferencz Tibor , 21 ans, qui fut tué sur la route de Quinsac, un autre homme fut fusillé : Monsieur Menesplier, 25 ans laissé pour mort, blessé en 3 endroits, il revint à la vie, et fut secouru par des gens du hameau de "Bochaud", il survécu.
A la Martinière, sur la route de Quinsac (RD 83) 4 victimes :
Stèle commémorant cet massacre s'élève au bourg de St-Crépin
A Condat sur Trincou, les Allemands de bon matin, après s'être fait servir le café et l'eau de vie, rassemblèrent les hommes du villages et fusillèrent à trois cent mètre du Bourg au lieu dit "Le Rouchard" Monsieur Parcelier, 47 ans, pour ne pas avoir ses papiers sur lui. Un autre habitant du bourg le jeune Bonnal, fut envoyé au S.T.O., les Allemands incendièrent également la propriété du Maire Monsieur Alfred Roussarie.
C'est à St Pancrace, que les allemands de la division Brehmer, vont massacrer cinq hommes :
Marcel Belair, Edmond Nouard, Roland Calvi, René Lacoste, Eugène Muller furent massacrés en bordure de la RD 8.
Stèles se trouvent sur la route en direction de St Crépin de Richemont en sortant de St Pancrace
Sur la commune de Brantôme, au pont des roches, prés du hameau de Puy Joubert, sur la petite route qui longe la Dronne, à coté de la fontaine d'amour, 4 juifs furent exécutés le 27 mars 1944 parce qu'ils étaient juifs.
Sur la commune de Brantôme, sur la RN numéro 675 en direction de Nontron, Henri Lapeyronnie, cultivateur de 24 ans, originaire de Quinsac fut abattu par les soldats Nazi, près de "Puy Laurent"
Rectificatif, à Villars, en mème temps que Monsieur Ferencz Tibor , 21 ans, qui fut tué sur la route de Quinsac, un autre homme fut fusillé : Monsieur Menesplier, 25 ans laissé pour mort, blessé en 3 endroits, il revint à la vie, et fut secouru par des gens du hameau de "Bochaud", il survécu.
Dans cette mème commune, Villars, les noms de : Thibault, Duidré, et Laprade auraient été exécutés. Mais aucun acte de décés les concernant n'a été établi par la mairie, hors, Monsieur Laprade, son corps fut retrouvé criblé de balles, dans la rivière Dronne, sur la commune de Quinsac, alors qu'il était parti pécher. Les Allemands, ayant retrouvé chez lui des cartouches de chasse, c'était le prétexte pour le tué, et mirent le feu à trois maisons et trois granges, et incendiaire une autre ferme appartenant à Monsieur Léonard Lapierre, enfin deux hommes furent envoyé au S.T.O.
Les Allemands fusillent, Andrè Lamaud, 26 ans, Eclancher, 4O ans, et Dreyfus, 47 ans, qui était juif, au lieu dit "le trou de la louve" près du hameau de "Verneuil", à la limite de la commune de Champagnac de Belair et de Brantôme. La stèle est dans un bois à 15O mètres de la petite route qui mène à "Verneuil". Le propriétaire du bois m'a emmené à l'emplacement, sans lui je n'aurais pu la trouver seul.
A Champagnac de belair, une rue porte le nom d'André Lamaud. Pendant la guerre il fessait des faux papiers et étais animateur de l'A.S., avec monsieur Souquet, qui fut maire de la commune après la guerre.
A Champagnac de belair, une rue porte le nom d'André Lamaud. Pendant la guerre il fessait des faux papiers et étais animateur de l'A.S., avec monsieur Souquet, qui fut maire de la commune après la guerre.
A la Martinière, sur la route de Quinsac (RD 83) 4 victimes :
Leibha Léon Abelsonnas, 67 ans
Marcel Alexandre, 56 ans
Paul Leroi, 64 ans
Fernand Levy, 36 ans
Abattus sauvagement par les S.S. A côté de leurs corps, on decouvrit quatre valises.
Les membres de leurs familles :
Dora Abelsonas, 49 ans
sa nièce Hélène Wachsman, 4 ans
Bella Kahn, 42 ans
sa soeur Claire Khan, 43 ans
et leur mère, Léonie Khan 71 ans
- déportées (convoi n° 71).
Les membres de leurs familles :
Dora Abelsonas, 49 ans
sa nièce Hélène Wachsman, 4 ans
Bella Kahn, 42 ans
sa soeur Claire Khan, 43 ans
et leur mère, Léonie Khan 71 ans
- déportées (convoi n° 71).